Un début de film tronqué de quelques secondes suffit à faire d'un criminel condamné à mort uniquement un condamné à mort.
Surtout quand on le voit des dizaines et des dizaines de fois.
Sur Les 12 salopards (Robert Aldrich, 1967)
Les miséreux c'est bien mais pas de trop près. Il faudrait quand même pas qu'ils croient qu'ils méritent trop d'attention.
Sur Lord of war (Andrew Nicol -2005)