Petit retour en arrière sur des films qui ont nourri mon imaginaire. Rétrospectivement à tort ou à raison.
Une façon de relativiser ses joies, son opinion, ses amours et ses désamours. Essayer aussi de comprendre comment son propre imaginaire peut se construire.
Je me souviens que lorsque j'étais enfant les cinémas permanents existaient encore.
Il n'y avait pas de séance à proprement dites comme aujourd'hui. On achetait son billet et on entrait dans la salle. Et tant pis si le film avait commencé depuis 5, 10, 15 minutes, voire même si on arrivé pour la fin.